Mon premier potager - les conclusions...
- MarYSol Mag
- 12 août 2020
- 3 min de lecture
Dernière mise à jour : 28 août 2020
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Comme je disais dans l'article précédent, on apprend de nos expériences, de nos erreurs et en suivant les conseils de ceux qui sont déjà passé par les mêmes étapes que nous.
Alors voici mes conclusions suite à cette première expérience de #potager urbain (faux - j'avais déjà essayé il y a plus de vingt ans, mais je ne me suis pas 'investi" comme cette fois-ci) qui a débuté avec la mise en terre de semis à l’intérieur de la maison:

Planifier au préalable d'endroit où les plants seront plantés à l'extérieur (de préférable un endroit qui reçoit beaucoup de soleil
Vérifier la compatibilité entre les plants.
Ne pas débuter trop tôt l'ensemencement.
Suivre à la lettre les indications sur les sachets des semis.
Respecter les périodes de plantation de semis à l’intérieur.
Placer les plateaux avec les semis devant une fenêtre orientée vers le sud.
Arroser régulièrement.
Tourner les plateaux avec les semis plusieurs fois dans la journée pour que les plants bénéficient du soleil.
Lorsque les pousses semblent devenus trop grandes pour les petits contenant, les transplanter dans des contenants plus gros afin de permettre aux racines de se développer.
Arroser régulièrement.
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Sortir les plants à l’extérieur uniquement lorsqu'il n’y aura plus de risque de gel au sol (fin mai habituellement au Québec).
Mettre les plants à l’ombre pour quelques jours pour les acclimater à l’extérieur.
Planter les plants dans les endroits pré-déterminés en tenant compte de la compatibilités entre les plants, l’ensoleillement nécessaire et le type d’arrosage (fréquent ou pas).
Vérifier quel envergure aura la plante à la maturité et respecter l’espacement avec les autres plantes.
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Arroser régulièrement.
Apporter de l’engrais de façon régulière (aux deux, trois semaines).
Prendre soin des plantes (mettre des tuteurs si nécessaire, couper les branches cassées ou feuilles séchées etc).
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Si vous plantez des tomates, s’assurer de planter plusieurs variétés afin d’avoir des tomates sur des périodes plus longues. Personnellement j’ai mis des tomates cerises Tiny-Tim et des tomates Big Beef. J’ai récolté les Tiny-Tym depuis fin juillet à plusieurs reprises. Une abondance de tomates ! Pendant ce temps, les tomates Big Beef se formaient et on commencé à rougir vers la mi-août.
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Personnellement, j’ai trouvé difficile la culture de radis. Le résultat fut désastreux malgré le fait que je les ai arrosé beaucoup.
Les zucchinis (les courges, les melons...) prennent beaucoup de place dans le jardin. De plus, depuis quelques années, il est arrivé une insecte au Québec qui attaque ces plants et les font mourir. Aucun remède connu à date.
Les choux-fleur - rendus à mi-août, je n’ai toujours pas eu de choux-fleur qui a poussé. Beaucoup de feuillage par contre.
#Poivrons (semés avec des graines prise à partir des poivrons) ... Les minis poussent bien mais toujours pas prêts pour les récolter mi-août. Les gros poivrons, commencent à peine à avoir des fleurs.
Je crois que pour les plantes qui sont plus difficiles à faire pousser dans les conditions du Québec où la saison est très courte, il serait préférable de planter fin mai, des plants plus matures, qui ont grandi dans des serres. Sinon, on risque de ne jamais avoir des légumes assez mures pour pouvoir les récolter avant le premier gel.
En espérant que ces conseils vous seront utiles, je vous souhaite bon #jardinage, du plaisir et une bonne récolte.
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